Pendant 7 millions d'années, l'homme actuel et ses ancêtres ont connu une alimentation stable et qui a peu évolué dans le temps.
Il y a tout juste 10.000 ans (soit 0,14 % de son temps d'existence !), l'homme a modifié radicalement ce mode d'alimentation en inventant l'élevage et l'agriculture.
De plus, depuis un siècle, sous l'action de l'industrialisation et du développement des transports, des milliers de nouvelles molécules, complètement inconnues de notre organisme, ont fait irruption dans l'alimentation : additifs, conservants, exhausteurs, pesticides, engrais, OGM et autres produits chimiques.
Notre organisme n'a pas encore eu le temps, sur un plan biologique, de s'adapter à tous ces nouveaux composés. Il s'adapte tant bien que mal mais il est quasiment certain que bon nombre de maladies sont provoquées par une inadaptation alimentaire.
Cet état de fait est analysé en détail dans l'ouvrage ci-dessous, dont l'auteur prône un retour à une alimentation ancestrale, d'autant plus en cas de maladie grave.
Notre façon de manger influence notre santé, dans un bon ou dans un mauvais sens. Si chacun est d'accord sur ce point, deux questions restent posées :
1) De quelle manière une alimentation mal conçue conduit-elle à certaines maladies ?
2) Quelle est la diététique idéale ?
L'auteur propose une réponse à ces deux questions, en s'appuyant sur les découvertes récentes réalisées dans les diverses branches de la médecine et de la biologie. II montre comment l'alimentation moderne exerce ses effets néfastes, en conjonction avec d'autres facteurs génétiques et environnementaux. Les multiples étapes qui mènent de l'état normal à l'état pathologique apparaissent clairement.
Au départ de troubles aussi variés que la polyarthrite rhumatoïde, le diabète sucré de la maturité, le cancer du sein ou l'asthme, on trouve la nourriture moderne, responsable du passage dans la circulation sanguine de macromolécules bactériennes et alimentaires nocives.
Le retour à une nutrition de type ancestral, la seule qui convient à l'homme, permet d'obtenir des succès aussi nets que fréquents dans une multitude d'affections qui passent pour mystérieuses et peu ou pas curables.
Dans cette cinquième édition refondue et augmentée, l'action favorable fréquente du changement nutritionnel est rapportée dans 91 maladies. Les résultats souvent extraordinaires du régime alimentaire deviennent évidents, sur le plan préventif (athérosclérose, cancer, etc.), comme sur le plan curatif (sclérose en plaques, dépression nerveuse, maladie de Crohn, asthme, etc.).
La notion classique d'une diététique quantitative, basée sur le nombre de calories et l'équilibre entre glucides, lipides et protides, est remplacée par un nouveau concept, celui d'une diététique qualitative, fondée sur la structure des molécules. II faut écarter celles que l'organisme ne peut pas métaboliser et conserver celles accessibles à l'action de nos enzymes.
Cette attitude de bon sens, associée ou non aux médications classiques, est très souvent salvatrice. Puisse cette nouvelle édition persuader les lecteurs que l'alimentation d'hier doit prendre une grande place dans la médecine de demain, aussi bien dans la prévention que dans le traitement de la plupart des maladies
L'auteur
Jean Seignalet, docteur en médecine, ancien interne des hôpitaux de Montpellier était maître de conférences à la Faculté de médecine de Montpellier et praticien hospitalier. II a dirigé pendant trente ans le laboratoire d'histocompatibilité de Montpellier. II a été un pionnier des greffes d'organes et de tissus, en particulier des transplantations rénales. II a développé des examens biologiques qui aident au diagnostic et à la prévention de certaines maladies. L'auteur exerçait ses activités aussi bien dans le domaine de la biologie que dans celui de la clinique.
Pendant 7 millions d'années, l'homme actuel et ses ancêtres ont connu une alimentation stable et qui a peu évolué dans le temps.
Les insectes, récoltés au cours des cueillettes, en faisaient largement partie ! Les insectes sont d'ailleurs encore consommés dans bon nombre de pays africains et asiatiques.. Mais ce que peu savent, c'est que ce n'est que vers les années 1930 que les élevages de sauterelles ont disparu de France !
Pourquoi manger des insectes ?
Pour plusieurs raisons :
parce que notre organisme est parfaitement adapté à les digérer (90 % d'assimilation contre 23 % pour la viande classique !)
parce que c'est une source de protéines facile à produire et qui peut solutionner plusieurs problématiques posées par l'élevage (surface utilisée, impact environnemental, etc.)
pour le goût !
D'avoir essayé personnellement une variété de chenilles africaines, nous pouvons vous assurer qu'en manger quelques cuillères suffit à complètement vous rassasier !
Le livre qui suit fait le tour de la question, de façon très pratique !
Depuis sa première édition en 1989, ce livre a lancé dans le monde entier la nouvelle mode de l'entomophagie en étant l'objet de plus de 1000 émissions de TV, radio et articles de presse. Il est devenu l'indispensable ouvrage de référence sur ce sujet.
Les insectes sont en effet une source de protéines très abondantes et d'une grande valeur nutritionnelle. Bruno Comby raconte dans "Délicieux insectes" ses expériences de pionnier et ses découvertes dans le domaine de l'entomophagie.
Découvrez pourquoi et comment il est possible de manger des insectes, le goût délicieux des espèces d'insectes comestibles et les meilleures recettes à base d'insectes.
L'Institut Bruno Comby, qui commercialise l'ouvrage